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Processus d’éditorialisation de contenus à partir de son portfolio

L’injonction professionnelle d’être présent sur les réseaux sociaux est chronophage, quelque soit son métier.

De ce constat, je me suis posée la question : comment améliorer cela?

Lors de mon Master Humanités numériques, le portfolio nous avait été présenté comme un outil de formation mais aussi une manière de tracer notre parcours.

Ce journal de bord numérique peut aussi servir aussi à éditorialiser nos contenus, notamment en appliquant le principe COPE mais aussi, étant donné la taille de notre projet :

    • Générer un site statique (SSG) – Hébergement et déploiement gratuit et simple
    • Utiliser nos fichiers Markdown comme notre base de données  – Tous nos contenus sont stockés directement dans des fichiers .md dans votre projet dans le dossier correspondant.
    • Système de Collections intégré – la possibilité  de “scalabiliser” vers un CMS qui permet d’organiser, de valider et de requêter les fichiers Markdown comme s’il s’agissait d’une base de données, mais sans la complexité d’une vraie base de données.

Ci-après un premier retour sur cette démarche publié sur LinkedIn.

Publié sur ## NEWSLETTER d’Alexia Fontaine – 3 avril 2025

Je me suis récemment lancée dans cette idée de maintenir ma présence sur les réseaux sociaux en générant une newsletter hébergée sur GitHub avec comme “source” de contenus mon portfolio : l’objectif d’une _réutilisation optimisée,_ selon le principe COPE.

Processus d’éditorialisation de contenus

Une manière de recycler ce que l’on produit sur le web, et plus particulièrement les réseaux sociaux, ces questions me semblent assez pertinentes _(un contenu a une durée de vue d’1 heure environ…)_, alors voyez votre intérêt : vous y passerez moins de temps ! (…peut-être pas au début 🥲 )

Workflow de ce processus d’éditorialisation

Le dispositif est opérationnel de bout en bout : pour GitHub tant que c’est public, il valide, et les plateformes LinkedIn – GitHub sont parfaitement interopérables. Par contre, les restrictions des API, c’est une autre danse : on ne lutte pas face à la restriction des doublons !!

Disons plus simplement que leur politique de contenus considère mon action comme du SPAM… Me voilà bien…

* Au début, je me suis dit (magnifique photo au passage) :

La Jeune Fille à la Fleur (1967) de Marc RIBOUD

 

* Et puis après :

Game over World 😜

Que ce soit en changeant le fichier d’appel html, les contenus ou en re-re-changeant le Token (et il semblerait que le problème vienne à présent plutôt de là!) : mon processus d’éditorialisation reste partiellement automatisé à ce stade… _”Et ‘Michalak en attendant …”_

Diagramme du processus d'éditorialisation de contenus

Diagramme du processus d’éditorialisation de contenus (lien dans image)

…Rétropédalage certes, mais le fait d’avoir modularisé le projet rend les modifications beaucoup plus aisées et donne une flexibilité à laquelle je n’avais pas pensé : séparer la génération de la newsletter et son stockage en deux dépôts distincts, finalement en extrapolant la séparation entre le fond et la forme à l’échelle des plateformes.

Deux formats de sortie pour répondre aux exigences de la plateforme de publication, LinkedIn aura de toute façon toujours le dernier mot, puisque j’utilise sa plateforme.

## [📰 Newsletter Portfolio]


OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
archnum (11 avril 2025). Processus d’éditorialisation de contenus à partir de son portfolio. Archéologie + numérique = Archnum. Consulté le 21 mai 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/13qsp


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